Le message d’alerte

Les cinq éléments d’un message d’alerte

Ce qui est arrivé, et ce qui menace encore d’arriver.

Le numéro d’où l’on appelle. Ou le numéro de la borne d’appel (dans une gare ou dans le métro, sur une voie rapide ou une autoroute). Il est en général recommandé de donner son identité de témoin ou d’intervenant.

Éventuellement le nombre de personnes concernées, blessées ou non avec une indication de la gravité de leurs blessures et si elles sont accessibles ou nécessitent d’être dégagées ou que des secours spécialisés se déplacent.

Les gestes de premiers secours et de protection mis en œuvre.

L’endroit précis où les secours sont attendus, l’adresse postale où attendra une personne pour guider les secours.
– En ville, c’est en général le nom de la commune, celui de la rue, le numéro de l’immeuble, l’étage, le numéro du code d’accès.
– A la campagne, le nom de la commune et celui du lieu dit, complétés par l’identification de la route ou son origine et sa destination; parfois un repère particulier, comme un pont, un transformateur ou un bâtiment particulier.

Il faut savoir que dans l’absolu, pour réagir efficacement, cela nécessite le concours de plusieurs personnes qui gardent leur sang froid.
  • Une personne doit se charger d’appeler les secours. Et les attendre. Elle peut également contacter un centre spécialisé.
  • Une personne, si possible secouriste, doit pratiquer un traitement d’urgence.
  • Une personne doit recueillir les éléments qui permettront d’informer le médecin de la nature et des effets de l’agent du suicide.

Si celui (ou celle) qui intervient est seul, il ou (elle) devra effectuer les opérations dans l’ordre indiqué ci-dessus.

En cas d’intoxication, un certain nombre de centres d’information téléphonique sont à même de donner des renseignements rapides.